Le parcours d’une femme du deuil à la guérison
Nous sommes tous familiers avec l’idée que Jésus a souffert et est mort sur la croix pour nous sauver de nos péchés. Avez-vous déjà réfléchi à toutes les différentes formes de souffrance que Jésus a dû traverser, avant même qu’il ne démarre son ministère à l’âge de 30 ans ? Je pense souvent au fait qu’il a dû perdre son père à un moment ou à un autre avant cela. Joseph a dû décéder, sinon il serait mentionné en Matthieu 12:46-47, lors de l’épisode où la mère et les frères de Jésus ont pensé qu’il était devenu fou – pas de figure paternelle présente là – et qu’ils sont venus le chercher. Lorsque Jésus a eu entre 20 et 30 ans, tous les autres enfants qui avaient grandi avec lui devaient être mariés et avoir démarré leur propre famille. En les regardant, il devait se sentir triste à propos des espoirs, des attentes et des rêves perdus, qu’il aurait été si naturel qu’il ait pour lui-même. A combien de mariages de ses amis a-t-il assisté, avant les noces de Cana au cours desquelles Jésus transforme l’eau en vin en Jean chapitre deux ? A quel âge a-t-il vraiment saisi qu’il était le Messie, destiné au rejet, à la souffrance et à une mort violente prématurée ? (Luc 24:44). Combien de nuits sans sommeil a-t-il passées, à penser quand, comment et pourquoi il était destiné à mourir ? Il a sûrement dû expérimenter un sentiment de perte de confiance et de perte d’idéal : les enseignants et dirigeants religieux, aux pieds desquels il s’était assis pour apprendre en tant que jeune adolescent, ont été ceux-là mêmes qui ont orchestré sa torture et sa mort à l’âge de 33 ans.
Le livre des Hébreux (Héb 2:14, 4:15) nous enseigne que Jésus est capable de compatir avec n’importe quelle lutte émotionnelle que nous pouvons traverser dans la vie. Le livre des Psaumes contient des descriptions et des exemples du peuple de Dieu exprimant toute la gamme des émotions humaines. Parfois, dans notre effort à être de « bons chrétiens », alors qu’en toute bonne conscience nous essayons de renoncer à nous-mêmes pour suivre Jésus, nous pouvons commettre l’erreur d’enfouir toutes nos émotions négatives. Parfois nous ne nous autorisons même pas à y penser. Parfois nous ne faisons qu’y penser. Il peut être difficile de savoir où et comment dire la vérité sur à quel point nous nous sentons vraiment mal, dans les périodes sombres de grande lutte et d’épreuve. Parfois l’Eglise peut cesser d’être un endroit sûr, quand les seuls outils pour nous réconforter les uns les autres dans les moments de tragédie sont de nous dire : « Ne t’inquiète pas, ça va aller », et « Dieu ne nous donne pas de tentation au-delà de nos forces », ou, le pire de tout « peut-être as-tu commis un péché et Dieu est en train de te punir ». Jésus savait comment dire uniquement aux disciples la vérité qu’ils pouvaient supporter sur le moment. Il les rencontrait là où ils en étaient. Il savait quand parler et quand se taire (Marc 4:33, Ecclésiaste 3:7). J’ai commis toutes ces erreurs en essayant de réconforter les personnes que j’aime le plus.
Pour certains d’entre nous, les pertes dévastatrices démarrent tôt dans la vie ; pour d’autres, ce n’est pas avant que l’un de nos grands-parents ou parents décède que nous sommes confrontés à la douleur incommensurable liée à la perte de quelqu’un qui a toujours été là –jusqu’à ce que soudainement il ne le soit plus. Le deuil nous rattrape tôt ou tard. Dans ma propre histoire, à l’âge de 24 ans, j’avais déjà enterré mes deux parents, deux oncles et le seul grand-parent que je connaisse. Cinq camarades de classe – dont je connaissais le nom depuis la maternelle, des enfants qui se sont assis dans les mêmes salles de cours que moi pendant dix ans, sont décédés de manière diverse mais terrible et inattendue au lycée ; et une camarade de fac a mis fin à ses jours en se suicidant.
La mort, cependant, n’est pas la seule chose qui crée deuil et chagrin. Il y a le divorce. Il y a la trahison. Il y a la déception. Il y a des espoirs, des rêves et des attentes qui ne se sont pas réalisés de la manière que nous l’espérions. Plus de 40 événements différents de la vie nous font communément souffrir1. J’en vois des exemples partout dans la Bible. Depuis peu, lorsque je lis, ils me sautent aux yeux depuis les pages de l’Ancien comme du Nouveau Testament – alors qu’avant, je ne les remarquais pas du tout.
J’avais entendu parler de The Grief Recovery Method® (www.griefrecoverymethod.com), la méthode pour guérir du deuil, pendant des années. D’abord, à travers des spécialistes formés à cette méthode, qui étaient des membres de notre Eglise à Los Angeles. Nous proposions le programme régulièrement dans notre région, mais je n’avais jamais ressenti le besoin de le suivre moi-même. Plus tard, j’en ai entendu parler à travers Teresa Ferguson, une amie chère et l’épouse de l’Ancien, Evangéliste et Auteur Gordon Ferguson, que je respecte et aime depuis longtemps. Je pense qu’elle m’a recommandé The Grief Recovery Handbook 1 (le cahier pour guérir du deuil et du chagrin) dans trois conversations différentes sur une période de plusieurs années, avant que je me décide à l’acheter et à le lire pour de bon. Lorsque je l’ai finalement fait, je ne pouvais plus le lâcher. J’ai su de suite que j’avais quelque chose de très précieux dans les mains. Quoique le livre, volontairement, ne cite pas la Bible et n’y fasse pas référence, j’ai tout de suite compris que les auteurs avaient fondé leurs principes d’application pratique en observant humblement pendant des années les vérités spirituelles et universelles de Dieu en action. Ils ont appris ce qui marche et ce qui ne marche pas pour guérir le cœur de personnes devant faire face à toutes sortes de pertes. En Daniel 2 :21b-22, on lit
«(Il) donne la sagesse aux sages
et la science à ceux qui ont de l’intelligence.
C’est lui qui révèle ce qui est profond et caché,
Qui connait ce qui est dans les ténèbres.»
Nos cœurs peuvent être des lieux vraiment très sombres parfois.
Quand j’ai finalement décidé de lire The Grief Recovery Handbook, je venais de faire un déménagement international depuis Los Angeles, en Californie, à Birmingham, en Angleterre. C’était mon cinquième déménagement transatlantique. Changer de maison n’est jamais facile pour moi. Chaque fois que j’ai eu à déménager, c’est presque comme si un de mes parents mourait à nouveau. C’est dur à ce point-là pour moi. En même temps que nous nous installions dans notre nouvelle maison en Angleterre, j’ai commencé à rencontrer les gens dans les églises là-bas et à apprendre à les connaître. En écoutant leurs histoires personnelles, j’ai entendu tellement de déception. Tellement de tristesse et de désillusion. Tellement de regrets. Tellement de souffrance, tellement de perte. Ce mot résonnait comme la meilleure description des motifs nombreux de souffrance émotionnelle dans le cœur de ces différentes personnes. Moi-même, je me sentais triste aussi, ayant quitté (encore) mon pays natal, ma culture, ma langue et mes amis.
Alors, j’ai invité une amie et sœur proche dans l’Eglise à partir pour un week-end de retraite à étudier le livre The Grief Recovery Handbook ensemble. Nous avons réservé un hôtel à la campagne pour nous deux. Nous sommes parties, chacune de notre côté, pour nous asseoir, lire et faire nos devoirs avec chaque exercice du livre. Ensuite nous nous sommes retrouvées pour les repas, pour parler l’une avec l’autre, et pour s’écouter l’une l’autre, comme le livre le recommande.
J’avais pensé que mon besoin le plus aigu allait être de traiter l’océan d’émotions générées par mon déménagement et tout ce qui s’y rapportait. A ma grande surprise, alors que j’ai commencé à travailler les exercices du livre, j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose de plus profond et de plus pressant qui me serrait la gorge et me faisait monter les larmes aux yeux, alors que je lisais et travaillais les premiers exercices du livre. Ma fille venait juste de quitter la maison et était partie à l’université. Il ne m’était pas venu à l’esprit que ma relation avec elle pourrait être la plus grande source de tristesse de ma vie à ce moment-là, parce qu’il y avait tant de choses dans notre relation qui allaient en fait plutôt bien à ce moment-là !
Et pourtant – je ne pouvais pas nier que je ressentais comme un poignard dans le cœur alors que je prenais le temps de reconnaître les choses pour lesquelles j’avais des regrets. Je n’avais pas réalisé que je portais tellement de pensées douloureuses enfouies tout au fond de moi. Je me concentrais de manière routinière sur les parties heureuses de notre relation et je m’efforçais d’oublier les mauvaises parties – n’est-pas ce que les chrétiens sont censés faire ? Alors quelle était cette souffrance aigue qui ne cessait de crier en moi pour attirer mon attention, alors que je faisais l’exercice du livre ?
J’étais bouleversée, alors que je suivais les instructions de l’exercice à faire. J’ai dépeint l’image générale de notre relation et j’ai vu sur le papier bien plus de tristesse et de regret dans ma relation avec ma fille que je m’y attendais. C’était un incroyable processus de découverte. Je ressentais que Dieu était en train de travailler pour m’ouvrir les yeux aux secrets de mon propre cœur (Psaume 44:21), m’aidant à grandir en humilité et à mieux me connaître. Je ressentais que l’on m’avait donné un outil pratique pour m’aider à faire ressortir des choses douloureuses que je ne pouvais pas voir moi-même, depuis les ténèbres jusqu’à son admirable lumière (1 Jean 1:5-10).
Mon amie et moi avons terminé la méthode ensemble ce week-end-là. J’ai commencé à distribuer des exemplaires du livre autour de moi aussi souvent que je le pouvais. C’est devenu un outil que j’ai utilisé dans mon ministère avec à la fois les chrétiens et les personnes qui venaient vers nous pour chercher Dieu, mais qui avaient tant de souffrance non résolue dans leur cœur qu’elles ne pouvaient pas vraiment entendre Dieu ou lui faire confiance dès le début. Récemment, j’ai vu cela dans Exode chapitre six. Les Israélites avaient repris espoir avec l’intervention personnelle de Dieu, Moïse et Aaron arrivant sur scène après 400 ans d’esclavage et confrontant Pharaon héroïquement. Mais leur vie s’est alors plutôt détériorée qu’améliorée. Les Egyptiens s’en sont pris encore plus durement aux esclaves israélites : «on ne vous donnera pas de paille, et vous livrerez la même quantité de briques» (Exode 5:18). Cela fait du bien de voir que Moïse est très honnête avec Dieu dans la prière après ceci : «Depuis que je suis allé vers le Pharaon pour parler en ton nom, il fait du mal à ton peuple, et tu n’as pas du tout délivré ton peuple » (Exode 5:23). Ensuite le Seigneur tourne le projecteur entièrement sur lui-même dans sa conversation avec Moïse. Maintenant, vous allez voir des miracles, dit-il. Attendez et voyez ce que je suis sur le point de faire. Je vous ai entendus ! Je viens ! Moi, je suis l’Eternel, le seul et unique. Je vous rachèterai, je vous prendrai pour que vous soyez mon peuple, je serai votre Dieu ! Je viendrai à votre secours, je vous délivrerai ! Je vous sauverai et vous ferai entrer dans la terre promise car vous êtes mon peuple bien-aimé ! C’est tellement excitant ! Dieu le Créateur, le seul Dieu, est en train d’agir ! Il est proche ! Il est sur le point de les sauver et de les délivrer, pour de vrai. 400 années de terrible esclavage et de racisme sont sur le point de S’ACHEVER. Ils sont à l’aube d’un des sauvetages les plus incroyables et miraculeux de toute l’histoire humaine, si ce n’est le plus grand. Et vient alors Exode 6:9 : « C’est ainsi que Moïse parla aux Israélites. Mais ils n’écoutèrent pas (étaient incapables de l’entendre ?) à cause de leur impatience et de leur dure servitude». Exactement. Parfois je ne suis pas en état d’écouter la bonne nouvelle de Dieu ou sa sainte vérité non plus.
Parfois le deuil et la perte font leur entrée non souhaitée très tôt dans la vie. Ce qui est sûr c’est que quand nous avons atteint la moitié de notre vie, nous avons accumulé une lourde charge de regrets, et des choses que nous aimerions avoir vu tourner différemment. Toutes ces déceptions nous affectent. Avec les meilleures intentions du monde, nous essayons d’appliquer les principes chrétiens à notre cœur en souffrance : « Dieu est en contrôle », disons-nous. « Il ne nous éprouvera pas au-delà de ce que nous pouvons supporter ». Parfois, ces faits rationnels sont un réconfort pour celui qui souffre. D’autres fois, cependant, même si la parole de Dieu est toujours vraie, notre souffrance humaine n’est pas capable de trouver ces mots particulièrement utiles ou réconfortants. Je crois que c’est pour cela que Jésus a juste dit à ses disciples ce qu’ils étaient capables de gérer. Je crois que c’est pour cela qu’Ecclésiaste 3:1-11 nous enseigne que Dieu nous a créés de telle manière à ce que nous ayons besoin de prendre du temps pour différents types d’activités : il y a un temps pour parler, et un temps pour se taire. Les amis de Job avaient bon au début, quand ils se sont assis silencieusement avec leur ami qui souffrait. Tout est allé de travers quand ils ont ouvert leur bouche et ont commencé à lui offrir des conseils et ont essayé de le changer. Il était en pleine souffrance. C’était le moment de se taire, d’écouter, de faire le deuil.
Au milieu de la quarantaine, j’ai commencé à expérimenter tous les symptômes classiques de la pré-ménopause. Normalement une personne énergique, positive, j’ai commencé à déprimer et à être épuisée physiquement 100% du temps. Je ne trouvais absolument aucune joie dans quoi que ce soit dans ma vie. Je n’arrivais pas à me concentrer. Je dormais horriblement mal. Je lisais le même verset de la Bible 20 fois le matin et rien ne s’imprimait dans ma tête. Je me sentais nulle dans tout ce que je faisais. J’ai régulièrement demandé à Dieu de juste m’emmener, et le monde s’en porterait certainement mieux. J’ai été malade trois ans de suite avec une pneumonie – la première année cela m’a gardée au lit pendant 5 semaines. Dieu merci, mes sœurs dans l’Eglise m’ont soutenue et m’ont alertée sur le fait que j’étais très certainement en phase de pré-ménopause. Finalement, j’ai trouvé un bon médecin qui m’a aidée avec les symptômes physiques (il m’a dit de bien dormir, bien manger et de bien faire de l’exercice !). Après à peu près 4 ans à enfin maîtriser ces changements simples mais vraiment difficiles, j’ai ressenti le bien-être revenir. (Cela, et une tout petite dose chaque jour, pendant une certaine période, de crème naturellement riche en progestérone2). « Ouf, je suis de retour », me souviens m’être dit à moi-même un jour. Avec le recul, je crois que les symptômes que j’ai expérimentés à ce moment-là ont été pires et ont duré beaucoup plus longtemps qu’ils n’auraient dû, parce que je portais tellement de chagrin non résolu dans mon cœur.
Le chagrin se cumule. Il s’entasse à l’intérieur si nous ne le traitons pas. Les pertes, si nous ne les traitons pas correctement, ne s’améliorent pas avec le temps, mais au contraire empirent. Dieu nous a créés avec un besoin de connexion. C’est en étant en relation avec lui et avec les uns et les autres que nous guérissons. Il nous a faits de telle manière que nous avons besoin de parler à haute voix de notre douleur. Psaumes 62 nous enseigne à déverser nos cœurs auprès de Dieu car c’est là que nous trouvons la guérison. Ce n’est pas étonnant qu’on nous enseigne à confesser nos péchés, et même nos tentations. Nous voyons cet exemple sain dans la Bible dans les psaumes de lamentation et dans le livre des Lamentations. Nulle part Dieu ne reproche à Jérémie le fait de lui parler si honnêtement et d’exprimer toute sa souffrance émotionnelle dans la prière. Dieu nous a faits ainsi que nous soyons introvertis ou extravertis. Nous devons nous exprimer, parler à haute voix, prier à haute voix, soupirer à haute voix, donner voix à ce qui nous trouble dans nos cœurs. Dieu seul peut recevoir ce que nous mettons à plat. Les gens autour de nous ne sont pas aussi dignes de confiance. Parfois c’est difficile de trouver un endroit sûr, même dans l’Eglise, où nous pouvons être honnêtes et authentiques. Malheureusement, parfois notre souffrance et notre déception sont tellement liés à Dieu ou à des relations dans l’Eglise, que nous nous retirons et arrêtons de lui parler, ou de nous parler les uns aux autres.
Ne laissez pas cela vous arriver. Le seul chemin pour retrouver l’intimité avec Dieu, ou dans toute relation, est d’affronter directement le conflit3. Battez-vous pour ce qui est juste. Passez votre moment avec Dieu quoi qu’il arrive. Priez au téléphone avec quelqu’un. Priez pendant que vous faites de l’exercice. Ecrivez à Dieu une lettre si vous n’arrivez pas à vous concentrer, ou si vous avez un long trajet pour aller au travail, priez à haute voix dans la voiture. Sortez de la maison. Mettez-vous à genoux. Priez les mots de la Bible à haute voix. Trouvez le temps. REGULIEREMENT.
Votre Coeur en vaut tellement la peine!
« Le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien ; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Christ-Jésus. » Philippiens 4:5b-7
« C’est donc en vain que j’ai purifié mon cœur, et que j’ai lavé mes mains dans l’innocence : Tout le jour je suis frappé ! Tous les matins mon châtiment est là ! J’ai donc réfléchi pour comprendre cela ; Ce fut pénible à mes yeux, jusqu’à ce que j’arrive aux sanctuaires de Dieu ; Alors j’ai compris… (Psaumes 73:13-15,17, points d’exclamation ajoutés).
« Mon âme est attachée à la poussière : Fais-moi vivre selon ta parole ! Je raconte mes voies (J’ai dit à Dieu tout ce qui s’était passé, tout ce que je pensais et ressentais) et tu me réponds : Enseigne-moi tes prescriptions ! (enseigne-moi ta parole). Fais-moi comprendre la voie de tes statuts (ta parole) et je méditerai sur tes merveilles. Mon âme pleure de chagrin : Relève-moi selon ta parole ! Ecarte de moi la voie de la fausseté, et accorde-moi la grâce de suivre ta loi (ta parole)! Je choisis la voie de la fidélité, je me conforme à tes ordonnances (à ta parole). Je m’attache à tes préceptes (à ta parole) ; Eternel, ne me rends pas honteux ! Je cours dans la voie de tes commandements (de ta parole), car tu mets mon cœur à l’aise ! » Psaumes 119:25-32. (mots en italique et dernier point d’exclamation ajoutés).
1John W. James and Russell Friedman, The Grief Recovery Handbook (20th Anniversary Expanded Edition) (New York: HarperCollins, 2009), 1 – Je n’ai pas vu de version française, la traduction serait «Le cahier pour guérir du deuil et du chagrin» (NDLT)
2Le meilleur livre que j’ai trouvé sur les changements physiques et émotionnels dans le corps d’une femme de l’âge de 35 ans environ jusqu’à la ménopause et au-delà (Je l’ai lu presque autant que ma Bible à la quarantaine) : What Your Doctor May Not Tell You About Premenopause by Dr. John Lee. Also by Lee: What Your Doctor May Not Tell You About Menopause
3 Joe Beam, fondateur de Family Dynamics www.marriagedynamics.com
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Si vous avez aimé cet article, vous pourriez aimer le livre de Rolan Monje, Into the Psalms de « ipi publishers »: https://ipibooks.ecwid.com/#!/Into-the-Psalms/p/64183324
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